dimanche 31 décembre 2023

"Extrasystoles", de Claire Gauzente et Benoît Pascaud


12 X 15 cm

92 pages
10 € port compris
ISBN 978-2-9589101-0-5

Avec une quatrième de couverture de Benoît Pascaud.

Pour commander le recueil auprès de l'association le Citron Gare, c'est sur Hello Asso : https://www.helloasso.com/associations/le-citron-gare/paiements/extrasystoles-de-claire-gauzente-et-benoit-pascaud

Pour tout autre renseignement : p.maltaverne@orange.fr

Et un poème extrait de "Extrasystoles" :

"Je chuchote à ta gorge noyée hésitante et pure
à l'oreille tendue vers l'indicible je chuchote aussi
au ventre souple et serré je chuchote les mots
à l'hôte de ces lieux je chuchote les autres mots
tous les mots essentiels les seuls je les chuchote
inlassablement je
compte sur leur magie
ils caressent paupières
joues paumes poumons diaphragme"

Claire Gauzente : "Entre Nantes et Saint-Jean-de-Monts, je cicrule et développe en proportions variables, différentes activités : écritures, panification, dessins, recherches, lectures à petites gorgées, tentatives de communication avec les gastéropodes du jardin, farfouilles vidéo, mycophillie (en autonome), imprimé(s), enseignements, crochet (en ce moment)… Je m'efforce d'être attentive à ce qui vient, qui s'accroche, se prend les pieds dans mes fils neuronaux et que je saisis avant évanouissement complet. Ensuite, avec un peu de chance, j'écris accompagnée de ce qui reste.

Pour ce qui est des publications, en revues : Traction-brabant, N47, L'intranquille, Lichen, Cabaret, Bigornette."

Benoît Pascaud : "Né en 1959 dans le Cher, je suis lithographe - artiste - ancien responsable du pôle estampe des beaux arts de Nantes. Après trente années d'enseignement de la lithographie, je développe depuis 1917 à Culan dans le Berry, un atelier de création, recherche et formation lithographique. Après avoir mis en place une première structure éditoriale pour les artistes et les étudiants des beaux-arts de Nantes (La Belle École), je co-fonde une nouvelle association : "Le 18ème parallèle", réseau d'échanges, de recherches et de promotion d'activités éditoriales contemporaines.

Mon travail artistique réside, en partie, dans l'analyse des moyens utilisés, dans la mise en valeur des processus créatifs qui sont vus comme autant d'actes d'apprentissage et de découverte.

Lorsque j'expose, je cherche à placer l'œuvre au cœur d'une expérience partageable, une ouverture entre mes propositions et les interprétations individuelles.

Mes outils ne se limitent pas, le dessin, la peinture, l'informatique, l'installation s'adaptent aux différents projets.

Je pense que j'aime être artiste.

Préliminaires sur les éditions

Un petit problème…


L’idée m’est venue de créer les Editions Le Citron Gare (ex Citron noir), qui n’en sont pas vraiment d’ailleurs, à la suite d’un constat crucial, résumé ci-après.

Certains poètes sont beaucoup édités par beaucoup d’éditeurs et pourtant, à lire leurs productions, j’ai souvent du mal à comprendre pourquoi ces œuvres là ont été retenues plutôt que d’autres, à moins qu’il ne s’agisse d’un effet de mode (faudrait que les éditeurs m’expliquent avec franchise le pourquoi du comment et ça c’est pas gagné).

Pire encore, il arrive que la lecture de ces textes choisis n’excite guère mon imagination, ce qui a pour effet de provoquer à plus ou moins long terme un irrépressible bâillement qui peut déboucher sur une crampe de la mâchoire pouvant aller même jusqu’à son décrochage.

Pourquoi ?

C’est difficile à exprimer. Cependant, il y a quelques constantes. Ces poésies sont toujours bien écrites, mais il s’agit en général d’écritures de rigueur budgétaire ou, si vous préférez, de régime sans sel, champêtres (alors que la population de ce pays vit majoritairement en ville), intimistes, voire abstraites et pour finir désincarnées.

Je lis également des recueils de bidouillages sémantiques très virtuoses et/ou très modernes qui peuvent s’avérer aussi inconsistants que les ci-devant recueils lyriques, et dans lesquels le vécu n’est pas davantage au centre du poème, le seul engagement de leurs auteurs étant au mieux d’ordre artistique (plus facile c’est certain de vouloir passer pour un professionnel de l’Euro que de changer le monde, à commencer par le sien).

Si, si, ça existe. la majorité des poèmes est comme ça. Sans doute, les symptômes de cette maladie mortelle que les adultes nomment maturité.

Bien sûr, il reste des exceptions, sauf qu’elles ne sont pas assez courantes à mon goût.

Par ailleurs, d’autres poètes, trop nombreux, que j’ai eu l’occasion de publier dans Traction-brabant et que publient aussi des revues tierces, ne sont pas édités, malgré des démarches entreprises, et finissent par être découragés, alors que parfois, leurs textes, qui sont tout aussi bien écrits que les précédents évoqués, me paraissent en revanche beaucoup plus forts.

Pourquoi ?

Ces poèmes racontent des histoires, parlent d’êtres humains, collent de plus près à la réalité de l’action ou de vies intérieures débridées, ils ne refusent pas la révolte, n’excluent pas l’humour, ce propre de l’homme, ou la dérision, et si le besoin s’en fait sentir, accueillent l’exubérance des images chère aux surréalistes.

Cela n’empêche… l’inégal partage des chances qui découle de la situation ci-dessus décrite, synonyme pour moi d’injustice, me pose problème, et surtout me semble injustifié, à moins que vous pensiez que mes goûts de lecteur relèvent de la perversion, ce qui ne serait pas sympathique pour les auteurs sélectionnés !


Une petite solution…


Voilà pourquoi je vais essayer de sortir de l’ombre totale ces perles rares, même si c’est à 100 exemplaires, avec peut-être la perspective derrière, voire le rêve ou l’illusion, de devenir un passeur pour des éditeurs plus professionnels que moi.

Dans le cas contraire, ces faux poètes en herbe auront été au moins une fois édités dans leur vie, si ce n’est avec professionnalisme, du moins avec passion.

Par conséquent, y a plus qu’à, sachant que cette activité, qui s’ajoute à plusieurs autres, peut s’arrêter du jour au lendemain.

Alors, un point essentiel : je dispose déjà d’une longue liste d’auteurs à publier, étant devenu, malgré moi, un chasseur de textes depuis que j’anime « Traction-brabant » (depuis 2004) : cette liste est dans ma tête et je ne vous la communiquerai pas.
Ainsi, je n'édite que les auteurs que je contacte...

Mon boulot consiste donc à barrer des noms une fois que l’édition est terminée, mais sachez le, au rythme de deux publications par an et pas davantage, on n’est pas rendus !

Tant pis, bien que l’escargot soit par nature très lent, il glisse. Et j’aime à espérer qu’il n’oubliera jamais ses alliés, les emportant sous sa coquille.

Pour finir et à toutes fins inutiles après ces explications, voici quelques règles simples mais efficaces :

1) les auteurs qui m’envoient spontanément des fichiers textes de 1 à un nombre infini de pages par mail ou par la poste pour édition, direction la corbeille en 10 secondes (lancez -vous plutôt dans de la politique que dans la poésie : voilà qui rapportera plus à votre ego) ;

2) les auteurs qui m’envoient spontanément des fichiers textes de 1 à un nombre infini de pages par mail ou par la poste pour savoir si c’est bien écrit (avant d’aller voir ailleurs où ça gagne plus), direction la corbeille en 5 secondes ;

3) plus généralement et cela va sans dire, mais sait-on jamais, les auteurs qui ne font pas l’effort de lire un recueil du Citron Gare (idem pour Traction-brabant) et d’en défendre l’esprit, montrant un intérêt exclusivement personnel à vouloir être édités : direction la corbeille en 2 secondes ;

4) pas deux fois le même auteur publié ici; 

5) possibilité d’éditer des recueils écrits à deux mains : la vôtre et la mienne (vous êtes bien embêtés là hein !) ;

6) possibilité de placer les œuvres d’un illustrateur;

7) seul chemin praticable : http://www.traction-brabant.blogspot.com/, c’est à dire par la revue poézine Traction-brabant de l'association Le Citron Gare, en m'adressant un message me prouvant que vous êtes un être humain (sinon, poubelle  : je ne suis pas votre clébard, bien sûr !), comme vous le faites malgré tout le plus souvent depuis plusieurs années, message accompagné d'un nombre maximum de 10 pages de poèmes en format A4, possible ticket pour Traction-brabant, sans aucune promesse pour un au-delà de la complicité, sauf que rien n’est impossible, à partir du moment où vous ne me demandez rien :

c’est ce que l’avenir nous dira.

 


En guise de post-scriptum, quelques recommandations aux auteurs intéressés par une publication:


C’est pas compliqué. Ne dérangez pas plus d’une fois les éditeurs qui ne répondent pas à vos envois, publient tout le temps les mêmes personnes (surtout pas vous), et donc vous prennent pour des billes. Laissez les tourner dans leur coin coin. Puis créez vos propres revues, éditions, avec l’aide d’Internet.

Lancez-vous donc ! Autoéditez-vous mais pas uniquement. Montrez-vous capables de vous intéresser à d’autres écritures que la vôtre, faites votre marché : il en restera toujours quelque chose.

Et n’essayez pas de vivre que de la poésie. Elle mérite beaucoup mieux que ça.


Patrice Maltaverne

"Dimanche sans bigoudis", de Basile Rouchin et Jeanne Besnard-Chaty

 

12 X 15 cm

89 pages
10 € port compris
ISBN 978-2-9561971-9-5

Avec une quatrième de couverture de Laurent Bayssière.

Pour commander le recueil auprès de l'association le Citron Gare, c'est sur Hello Asso : https://www.helloasso.com/associations/le-citron-gare/paiements/dimanche-sans-bigoudis-de-basile-rouchin-et-jeanne-besnard-chaty

Pour tout autre renseignement : p.maltaverne@orange.fr

Si vous avez Adobe Reader, un bon de commande est également disponible en version PDF (via Dropbox), en cliquant sur le mot ici.

Extraits de "Dimanche sans bigoudis", de Basile Rouchin :

"Malala avait renoncé à certaines choses pour se  forger une sagesse : laisser sa place, se contenter  de peu, vivre à portée de l'instant… Écorchée  vive, sa fille, poursuit son infatigable quête : celle d'un vase sans fond pour fleurs en plastique."

"Émile s'imagine occuper la piste de danse où sa belle se déhanche. Celle-ci livrée aux cavaliers, manie tourbillons, virevoltes et figures acrobatiques. lui - mécanique grippée - verres épais, genoux en kevlar, n'a de cesse de fixer cet effeuillage, de son fauteuil. Une chorégraphie de pétales rouges s'emballe sous ses pupilles déboulonnées. Éclose, elle est heureuse. La main verte, il lui sourit au loin."

"Octave ne se souvient pas de la couleur du ciel, le jour où un de ses oncles, vif comme l'éclair, l'a ramené au monde. Un caillou dans la trachée, la mine bleue."


Basile Rouchin est né au début des années 70. De formation universitaire, il vit et travaille en banlieue parisienne. Publication de deux recueils chez Interventions à Haute Voix, IHV (Détail d'intérieur, préfacé par de M. M. Fragonard, 2015 et Une pièce manquante et autres dépendances, préfacé par louis Dubost, 2023). Parution de textes et d'articles en revues. Participation à des ouvrages collectifs, lectures en public et communications.

Jeanne Besnard-Chaty : mon itinéraire a été les sciences humaines, la pratique du Taï Chi et au détour d'un accident de vie je découvre la peinture à l'encre - peinture asiatique. Deux pratiques méditatives pourrions-nous dire. Elles participent du QI, le souffle, et du mouvement, une circulation dite le Dragon en peinture asiatique.
"Un poème est une peinture invisible; une peinture est un poème visible" écrit le maître SHITAO. Le principe de base de la peinture à l'encre est le TRAIT, l'unique trait de pinceau dit Shitao. On observe la nature, on choisit un sujet et chaque élément du sujet tracé détermine un blanc soit un vide. Le vide appelle le vivant, jamais il n'est rien.
Voici en illustration de cette pratique les quatre trésors : le pinceau souvent en poils de chèvre, le bâton d'encre (fabrication ancestrale à partir de suie de pin et autres ingrédients), la pierre à encre dans laquelle on frotte le bâton d'encre après avoir versé un peu d'eau et enfin le papier de riz sans colle, asorbant.

"Des fourmis au bout des cils", d'Hélène Miguet et Christian Mouyon

 


12 X 15 cm

90 pages
10 € port compris
ISBN 978-2-9561971-7-1

Pour commander le recueil auprès de l'association le Citron Gare, c'est sur Hello Asso : https://www.helloasso.com/associations/le-citron-gare/paiements/des-fourmis-au-bout-des-cils-d-helene-miguet-et-christian-mouyon

Pour tout autre renseignement : p.maltaverne@orange.fr

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Pour vous mettre dans l'ambiance, ce poème, extrait de "Des fourmis au bout des cils", d'Hélène Miguet :

"Le ciel s'acharne à être gris    les gens aussi
Mais cette robe si rouge que tu aimes
vintage tu dis
fait danser le trottoir
un peu de ton été sur nos bitumes noirs

Quelque chose cloche pourtant dans ce rouge
Rouge-Sans-Nom
La ville en germe de surprise
quand sous le porche tu te
figes
brûlée de serments     jaillie de secrets sillons

Ce matin vers le ciel gris s'allonge
le sourire empourpré d'un coquelicot"


Hélène Miguet aurait voulu devenir funambule. Malheureusement, elle a le vertige. Alors elle funambule avec les mots, sur la corde fragile qui nous relie à l'intimité des choses les plus proches.

Publications dans les revues Traction-brabant, Décharge, Wam, Cabaret, Terre à ciel, FPM...

Des fourmis au bout des cils est son premier recueil.

A reçu le prix Amélie Murat pour son manuscrit Comme un courant d'air.


Christian Mouyon a commencé par étudier les sciences pour s'orienter ensuite vers les arts plastiques. Il vit à Lyon où il enseigne les mathématiques, menant en parallèle un travail pictural dont les recherches tournent principalement autour du corps et du portrait. Il est représenté par la galerie POUM (contact : poum.org).

"Le tête-à-queue de la jeunesse posthume", de Patrice Maltaverne


12 X 15 cm

82 pages
10 € port compris
ISBN 978-2-9561971-6-4

Ce recueil est une anthologie de 50 poèmes écrits entre 1989 et 2020, dont la plupart ont paru en revues. Une manière comme une autre de mesurer le temps parcouru, à l'occasion de mes 50 ans.
Une sorte de résumé de ce que j'ai écrit depuis plus de trente ans.
J'exprime là ma fidélité par rapport à ma vision de la poésie, et en même temps, aux revues qui ont publié ces poèmes, dont certaines sont aujourd'hui introuvables.

Pour commander le recueil auprès de l'association le Citron Gare, c'est sur Hello Asso : https://www.helloasso.com/associations/le-citron-gare/paiements/le-tete-a-queue-de-la-jeunesse-posthume

Pour tout autre renseignement :


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Extrait de "Le tête-à-queue de la jeunesse posthume" :

"docteur
donnez-moi une crème des médicaments
afin que je puisse retourner sur le tatami
pas pour les battre
les ceintures d'or vont trop vite
mais je veux être encore une fois
étalé sur le sol tout rouge tout bleu
entre quatre lignes infinies
comme Jésus Chris
que je me sente encore une fois
knock-out

soignez mes blessures d'immédiat
c'est si beau de reprendre
une séance de baffes
quand tout autour de soi est si propre
comme un jardin d'hiver"

"Devant l'ailleurs", de Marie Alcance et Beau André


12 X 15 cm

93 pages
10 € port compris
ISBN 978-2-9561971-5-7

Pour commander le recueil auprès de l'association le Citron Gare, c'est sur Hello Asso : https://www.helloasso.com/associations/le-citron-gare/paiements/devant-l-ailleurs-de-marie-alcance-et-beau-andre

Pour tout autre renseignement : p.maltaverne@orange.fr

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Afin de vous placer "Devant l'ailleurs", et en guise de découverte, ce poème extrait du recueil :

La Ceinture

Je détache la ceinture :
un léger bruit - chuinte le vide.
J'oublie la rue, les courses, d'autres insanités.

Ce grincement de la ceinture
qui rentre au fourreau
joue dans la nuit comme un agnus dei :
trace fugitive dégringolée d'une place inattendue.

Les mains au volant, je suis restée
écouter les yeux penchés.
J'ai glissé dans ma gangue.
Pffffft.

Marie Alcance aime à s'inventer un bureau au soleil, comme elle aime chercher à traduire ses pensées en poèmes. Pour elle, la lecture, autant que l'écriture, tient de la foi et de la pratique.
Publications dans les revues Nouveaux Délits et Cabaret en 2021.
Devant l'ailleurs est son premier recueil.

Beau André vit et travaille aux États-Unis. Son médium de prédilection est la peinture à l'huile, son sujet préféré, la complexité des visages. Elle délaisse parfois le pinceau pour la plume. Vous pouvez trouver ses toiles à cette adresse : www.beauandre.com

"Dans les agates", de Michel Talon

 


12 X 15 cm
92 pages
10 € port compris
ISBN 978-2-9561971-4-0

Pour commander le recueil auprès de l'association le Citron Gare, c'est sur Hello Asso : https://www.helloasso.com/associations/le-citron-gare/paiements/dans-les-agates-de-michel-talon

Pour tout autre renseignement : p.maltaverne@orange.fr

Voici un poème extrait du recueil qui vous permettra de retomber "Dans les agates" :


"CES VISAGES

Ces visages qui montent
en ligne,
sont le feu,
Le pain blanc
des jeunes soleils.

Les attendre au tournant,
leur dire
les mots des étoiles,
la beauté de l'allée
du château.

Défilent les mannequins,
La clarté du jour
en fait des fleurs.
Au premier détour
que croisent les regards
qui s'invitent au parfum d'or
au passage de la pluie."


Michel Talon est né en 1949.
Lectures à la Maison de la Poésie en 1991 et saison 95/96 à Paris.
Publications en revues : Froissart, Laudes, jalons, Le Cerf-Volant, Vents et Marées, Poésie I, Diérèse, Multiples, Le Cri d'Os, Traction-brabant, Poésie sur Seine.
Intervenant culturel en milieu scolaire (DRAC).
Recueils de poèmes :
La nuit verte (1977) Maison Rhodanienne de Poésie ed.
Désir sans mémoire (1985) Guy Chambelland ed. Prix Charles Vildrac de la SGDL
Haute voie (1989) Guy Chambelland ed.
Saisons (1994) Manuscrit. Prix du Jury Amélie Murat
Le Guetteur (1997) La Bartavelle ed.
Par défaut (2005) La Bartavelle ed.
Fièvres du mystère (2009) Abatos ed.
Émotions (2018) Grinta ed - traduit en roumain par Marcela Hadarig.

"la poésie, c'est le refuge le plus sûr"

On ne parle pas d'un poème. Un poème cela se respire, se boit, se mange. C'est un arbre vivant sculpté par la main de l'homme, la fête de la rose et du blé parfois, même celle des larmes.

                                                                                                     Claude de Burine

Quatrième de couverture du Guetteur.